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Paragone a le plaisir d'accueillir les Gorgô, un couple d'artistes qui peignent à deux pour créer un univers surréaliste qui leur appartienne.

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ANTOINE MONMARCHÉ. Plus communément appelé MONCH, Antoine s’est affirmé comme artiste alors qu’il avait 45 ans.

ANTOINE MONMARCHÉ. Plus communément appelé MONCH, Antoine s’est affirmé comme artiste alors qu’il avait 45 ans. Avant, il n’arrivait pas à s’exprimer. Quel a été l’élément déclencheur ?

Le déclic ?
Antoine est le fils d’un artiste polyvalent (comédien, collectionneur d’art, pratique de l’art plastique à titre personnel et chansonnier) à la personnalité très forte. De son vivant, il n’a jamais osé et n’a même jamais songé à créer par crainte d’une rivalité avec son père. C’est à la suite de son décès qu’il s’est affirmé
S’il a osé, c’est aussi grâce au regard positif des autres sur son travail : un réel encouragement à l’affirmation de soi.

La technique ?
Antoine travaille l’image via des logiciels professionnels sur lesquels il a été formé lorsqu’il était web designer.
Il a démarré par des paréidolies (vision de formes humaines, animales ou de toute autre nature dans les nuages, les tâches, les racines, les ombres…). Puis, constatant qu’il manquait quelque chose à ses œuvres, il a commencé à travailler à partir de photographies personnelles sur lesquelles il a joué avec la transparence, la superposition, la déformation et le collage : tout cela de façon numérique. Bien évidemment sans filtre ni effet « prêt à l’emploi » (qui n’existaient d’ailleurs pas à ses débuts) : tout se fait de façon « artisanale » et millimétrée.

Son crédo ?
L’anthropomorphisme, le fantastique, l’art qui bouscule et ne laisse pas indifférent. Son art se veut très expressif, il parle de la nature humaine et des sentiments mais avec une certaine gravité. Ses créations, elles sont le fruit du hasard qu’il essaie néanmoins de dompter lorsqu’il y travaille. L’axe d’une œuvre se dessine au fur et à mesure : « je ne sais jamais où je vais aller » dixit Monch.
La particularité de ses œuvres est qu’elles soient imprimées sur papier coton mat. Leur rendu esthétique oscille entre la photo et la peinture. Une légère subtilité qui a tendance à créer une ambiguïté que Monch se plait à revendiquer.

Envie de découvrir son talent ?
Rendez-vous au 20 rue nationale à Bergues.
Du mercredi au samedi de 15 h à 18 h 30